La 13e journée du championnat national de football de D1 se joue ce week-end dans différentes villes du pays. L’AS Douanes sera opposée à l’Etoile filante de Ouagadougou (EFO). Les techniciens des deux équipes étaient face à la presse ce jeudi pour parler du match (voir le programme complet ici).
L’AS Douanes jouera son 13e match de championnat face à l’Etoile filante de Ouagadougou, ce samedi 28 novembre 2020 au stade Issoufou Joseph Conombo à 16h. Victorieuse face à l’AS Police (1-0) le week-end dernier, l’équipe de Yaya Koné compte poursuivre sur cette série de victoire afin d’engranger le maximum de point lors de cette phase aller. Ce matin face à la presse, le technicien s’est prononcé sur son match du week-end contre l’EFO. « Nous sommes dans une bonne phase d’ascension et l’équipe monte en puissance. Mais, cette fois-ci, on est face à une équipe qui joue très bien et qui a des individualités sur lesquelles il ne faut pas passer. Il y a Débé Joseph qui joue très bien. Au milieu, il y a Zerbo qui est un vrai pourvoyeur de balles pour les attaquants et bien d’autres. Donc, il faut bien attendre l’EFO. C’est une équipe qui attaque et j’aime ça. On va profiter des brèches qu’ils vont nous laisser », dit-il.
L’EFO veut enchainer
Pour le technicien, toute la semaine de l’équipe a été dédiée à une étude sur la rencontre AS Douanes # EFO pour les 3 points. « Au niveau de notre attaque, nous travaillons toujours. On a préparé quelque chose aussi pour la défense de l’adversaire. On les a vu jouer et nous avons pris note. Samedi, je pense que les jeunes vont réciter tout ce qu’ils ont appris durant la semaine », un exposé qui a provoqué la réaction du technicien de l’EFO Amadou Sampo. « L’entraîneur de l’AS Douane a bien étalé notre système. Quand on l’écoute on sent que quelque chose se prépare de l’autre côté. C’est à moi maintenant de trouver d’autres solutions pour dérouter ce qu’ils ont mis en place pour ce week-end », peut-on entendre. Pour lui le match sera rude. Mais, chacun va se battre pour sortir avoir gain de cause.
Par Théophile Oliélé BAYALA (www.letalon.net)
